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 HISTOIRE DE LA SEINE & MARNE

  LE MONTOIS ET SA REGION
APERCU D'ENSEMBLE PAR G.BUISSON1PRESIDENT DE LA SOCIETE D'HISTOIRE ET D'ARCHEOLOGIE DE L'ARRONDISSEMENT DE PROVINS
 GEOLOGIE  [dont: les mines d'argile - les mineurs d'argile]                             
 ANTHROPOLOGIE PREHISTORIQUE
 EPOQUE GALLO-ROMAINE & ARCHEOLOGIE
 EPOQUE FEODALE 
 « GEOLOGIE 
Dans les pentes de la Seine, de la Voulzie et de l’Auxence, le sous-sol appartient à la couche géologique secondaire, au crétacé supérieur à belemites, ananchytes, ostréa, etc... Ces fossiles se trouvent à Jutigny, Paroy, Sigy, Luisetaine, Donnemarie, Egligny et Montigny-Lencoup.

Ce terrain crétacé (à mi-pente) est recouvert par la couche tertiaire‚ ocène (l’argile plastique, qui forme comme une ceinture ondulée).On l’exploite comme terre à faïence2 pour les fabriques de Montereau, Choisy-le-Roi, et de Sarguemines etc...On peut l’étudier à Savins, Sognolles, Cessoy, Thénisy, Donnemarie, Chalautre-la-Reposte, Dontilly, Preuilly et de Montigny-Lencoup.
Sa couleur n’est pas la même dans toutes les localités ; elle est blanche, grise noirâtre et parfois rouge, mais elle est d’une grande pureté. La couche supérieure appartient au calcaire lacustre inférieur : traversin inférieur, glaise verte et marne blanchâtre, renfermant une des plus riche flores fossiles que l’on connaisse.
                                               
NDR : à consulter sur le site : - les mines d'argile  - les mineurs d'argile
Sur le plateau qui s’étend dans la direction de Nangis, à Lizines, Meigneux, au dessus de Châlautre-la-Reposte, à Montigny-
Lencoup, des bancs de sable supérieur de Fontainebleau avec des blocs de grés forment flots ; le bloc le plus puissant se voit au lieu dit La Pierre, autrefois la pierre de Neuilly.

Ces sables et ces blocs de grés sont les témoins du grand cataclysme dont nous parlerons quand nous traiterons la question anthropologique. Le sol d’argiles grises ou rouges, de formation quaternaire, produit des céréales, des prairies artificielles, des vignes, des arbres forestiers tel le chêne, l’orme, le bouleau, le sapin, etc... Ce sol est assez riche pour faire vivre ses habitants ; il donne le bois de chauffage, la pierre à bâtir, terre à tuile et à brique ; il permet l’élevage des bestiaux, il offre surtout au chasseur un gibier sain et abondant. L’aisance existe dans les familles qui savent faire régner dans leur maison l’ordre et l’économie.
ANTHROPOLOGIE PREHISTORIQUE

Après avoir parlé de la terre, il nous faut parler de l’homme, ou plutôt de la succession des hommes qui, à des époques différentes, ont vécu sur les emplacements qu’à notre tour nous occupons. Sur les plateaux de Meigneux et de Savins et dans les pentes qui regardent la Seine, plusieurs outils de silex ont été recueillis dans l’empâtement des argiles rouges ; ces silex sont du type dit Acheulléen ou de Saint-Avheul, ils ont été taillés par l’homme contemporain de la formation géologique quaternaire, l’instrument est reconnaissable, de forme amygdaloïde et recouvert d’une patine laiteuse, il est généralement parfait d’exécution et toujours bombé sur les deux faces. Cet outil s’appréhendait à la main et n’était point emmanché, il servait à l’homme pour sa défense contre les gros animaux et aussi à tous les usages de la vie ordinaire.
Dans la forêt de Preuilly, dans les bois du Fresnay, sur Montigny-Lencoup, au lieu dit le champ-Girard, dans la même localité, sur la hauteur de Gurcy, dans les bois de Saint Martin près de Valjouan, aux Rochottes lieu dit de Meigneux et partout où se voient des amas de sables supérieures et des blocs de grès de Fontainebleau, on rencontre l’instrument en silex du type désigné sous le nom de Moustérien ou encore de Moustiers.
Dans toutes les carrières, l’archéologue est assuré à l’avance de tirer l’empâtement de l’argile qui recouvre les sables : des lames, des grattoirs, des pointes en beau silex laiteux, patine produite par le carbonate de chaux. Les pointes sont admirables de travail ; taillées d’un seul éclat à la partie concave, elles sont habilement ciselées à grands éclats et parfois finement retouchées. L’homme, artisan de ces outils, à assisté à la formation de nos vallées actuelles et à été témoin et victime du dernier cataclysme. La surface du sol nous révèle un peu partout l’habitat du dernier homme de l’âge de pierre dans nos contrées ; il n’est point localisé où on ne le rencontre, on recueille ça et là des débris de silex, des nuclei, des percuteurs, des lames, des grattoirs, des scies, des perçoirs, des haches en silex taillées et en silex poli. Plusieurs haches en serpentines ont été trouvées sur Montigny-Lencoup, Châlautre-la-Reposte, Lizines, Paroy, Donnemarie, Cessoy, Savins, Meigneux, Sognolles etc.

EPOQUE GALLO-ROMAINE & ARCHEOLOGIE
 Plusieurs monnaies éparses sur le sol ont été recueillies sur divers points du canton de Donnemarie, ce sont des monnaies des Sénons et des Leuques. Les premières sont de deux types différentes, les unes, à l’avers, représentant deux chèvres accostées, et au revers, un loup et un sanglier également accostés ; les autres, à l’avers, figurent une tête barbare et au revers, un cheval au galop avec trois boules.

  Les monnaies des Leuques montrent, à l’avers, une tête barbare et au revers, un cheval avec fleuron. Toutes ces monnaies sont en potin et ont été coulées en chapelet. Des colliers et des bracelets, des armes et des poteries ont été recueillies en 1857, à Lizines, Sognolles et au lieu dit de Montapot, près de Donnemarie d’autres spécimens de l’industrie gauloise ont été trouvés en 1868, par Mr Brunet de Presle, de l’institut (alors résidant à Parousseau, commune de Vimpelles), sur le territoire de Montigny-
Lencoup, aux Croyats.

  En 1894, MM.Bergeron et Guitonneau, membres de la société d’histoire et d’archéologie de l’arrondissement de Provins, pratiquèrent de nouvelles fouilles dans le cimetière au lieu dit la justice, dans la colline des Croyats à deux kilomètres à l’est de Montigny. Les fouilles qui, jusqu’au 7 avril 1895, ont port‚ sur 42 tombes, ont mis à jour 58 squelettes, 2 épées ibériques, un couteau, un poignard, 2 plaques de ceinturons, 6 torques, 3 fibules de bronze, 3 de fer, un fer de lance, 4 anneaux ou bracelets.
  MM.Bergeron et Guitonneau, dans leur notice sur le cimetière gaulois de Montigny, font remarquer que,"Les squelettes trouvés dans les fosses orientées à l’ouest n’ont aucun ornement, ceux dirigés du nord au sud ont la face vers l’orient et portent des armes et ornements. La taille des squelettes adultes est au dessus de la moyenne constat‚e aujourd’hui. "Les pierres recouvrant les fosses sont d’autant plus grosses et nombreuses que les personnes semblent avoir, une situation plus élevée. Aucune monnaie n’a été trouvée dans ces tombes. "Les poteries qui ont été relevées dans quelques fosses étaient dans un état tel qu’il à été impossible de leur attribuer une forme précise. "Les vestiges recueillis, la grande quantité de squelettes de femme et d’enfants, le petit nombre d’armes trouvées dans ces tombes, les poteries, la forme même des sépultures, dont quelques-unes contiennent trois squelettes superposées, permettent d’affirmer que le cimetière gaulois de Montigny était celui d’un village, et que ces ensevelissements n’ont pas été fait à la suite d’un combat". Il y aurait lieu de faire remonter ce cimetière au troisième siècle avant Jésus-Christ. Les Gaulois dont nous retrouvons les ossements avaient établi une fonderie de fer à Châlautre-la- Reposte et Montigny-Lencoup, au lieu dit la Cour-Hur.
Dans ces deux endroits, on trouve en abondance des minerais de fer, des scories de mâchefer, des plaques de fer oxydées, des outils, des clous, etc.... Le minerai, si on en juge par son poids, contient encore en grande quantité du fer et à été insuffisam- ment fondu."
  En 1994, il a été découvert au cours de fouilles, à Savins, aux Cottes-Mains, hameau de Four, des anciens fours à tuiles, dans un atelier gallo-romain actif du premier siècle jusqu’au début du troisième.
LE FOUR A TUILES DE SAVINS [référencé par Topic-Topos]
 
  "Des gallo-romains vivaient et travaillaient en bordure du plateau briard, à proximité de la voie antique. Ils vivaient souvent dans de simples cabanes aux murs de bois et torchis. Seuls les riches propriétaires terriens occupaient des demeures plus luxueuses, les villas, dont la construction nécessitait l'utilisation de briques et de tuiles, suivant les techniques apportées par les romains. Le tuilier Atilasili a laissé sa signature sur les briques qu'il fabriquait à l'aide de l'argile extraite de l'autre côté de la voie, dans un gisement à ciel ouvert.
  Ce site a fait l'objet de sondages en 1990 ; en 1994, les archéologues de l'AREA (Association régionale pour l'essor de l'archéologie) décident, après accord du propriétaire, de procéder à des fouilles plus précises et mettent au jour des fours remarquablement bien conservés.
À la suite de ces découvertes, la municipalité décide d'acquérir la parcelle et des campagnes de fouilles y sont effectuées chaque année.
Ce site, unique en Ile-de-France, correspondrait au plus ancien habitat de Savins." 

EPOQUE FEODALE

La persuasion qu’avaient nos pères de voir finir le monde en l’an mil n’était pas pour eux un encouragement au travail. A quoi bon acquérir, disaient-ils, puisque d’après l’apocalypse, tous, nous allons mourir ? Le réveil, sans doute, fût un soulagement, mais aussi un profond découragement. Que de siècles de paresse durant lesquels les ronces et les épines avaient envahi la terre. Le prétexte d’une mort imminente n’existant plus, il fallait de toute nécessité se mettre courageusement … l’ouvrage et défricher, essarter ce sol devenu inculte et sans rapport. Mais comment accomplir une oeuvre nécessitant des connaissances agricoles, des bras robustes et des capitaux. A la rigueur, les seigneurs auraient pu aider de leur argent, mais cet argent n’eut servi qu’à louer des bras étrangers ; encore où étaient ces bras ?
Le comte de Champagne comprit que ses prédécesseurs, malgré leur bonne volonté n’avaient obtenu aucun résultat, qu’il fallait, avant tout, donner à l’ouvrier rural des éducateurs travaillant eux-même de leurs bras. C’est alors que dans la forêt d’Egligny, il établit des moines de Citaux et fonda pour eux l’abbaye de Preuilly. Preuilly sera un centre de cultivateurs qui rayonneront dans notre contrée et la rendront féconde.
Déjà, en 632, des moines de l’ordre de Saint-Benoist avaient obtenu du roi Dagobert la concession des terres de Donnemarie ; mais l’histoire ne nous dit pas quelle à été leur influence sur la contrée depuis leur arrivée jusqu’à l’invasion des Normands, au neuvième siècle ; elle est semblablement muette sur les services rendus par le prieur‚-seigneurie de la Chapelle Châtenay, fondé avant 810. Les efforts des moines ne tardèrent pas à être couronnés de succès ; les bois d’Egligny, défrichés et mis en culture, apprirent aux habitants du Montois quelle richesse pouvait procurer une terre courageusement et intelligemment cultivée, et nous pouvons dire que depuis l’arrivée à Preuilly des moines Cisterciens jusqu’à nos jours, la culture de la terre n’à cesser de progresser.
D’autres moines s’implantèrent également sur notre sol ; le trésorier de l’Abbaye et le chapitre de Saint-Martin de Tours, au troisième siècle, entrèrent en possession des biens des Bénédictins de Donnemarie et, en vertu d’une ordonnance royale devinrent propriétaires de la moitié du domaine de Châlautre-la-Reposte, le trésorier de l’Abbaye portait le titre de baron ; il était seigneur, possédait des serfs, jouissait de droits réels et honorifiques. Alors les habitants, réconciliés avec le travail des champs, se sentant impuissant à se défendre contre toute surprise, se regroupaient autour des couvents ou des demeures seigneuriales ; alors s’élevait de toutes parts des châteaux-forts ; les villes et les villages construisaient des remparts ; le château-fort de la Motte, entour‚ de profonds fossés, protégeait le village de Châlautre-la-Reposte ; la Motte ou la Borde Saint-Florentin appuyait Egligny et assurait le passage sur l’ancienne voie romaine ; une troisième Motte défendait Gurcy. Parmi les villages entourés de murailles et de fossés, nous pouvons citer Donnemarie avec ses quatre portes flanquées de deux tourelles, celle de Melun, de Paris, de Provins et celle de Dontilly ; Villeneuve-les-Bordes, Sognolles, Mons, Thénisy, Luisetaine, plusieurs villages se trouvaient protégés par un fort qui, aprés avoir été occupé par des chefs militaires, devint la propriété du monastère de Saint-Pierre-le-Vif de Sens ; Egligny avait deux châteaux-forts qui défendaient le bras du nord de la Seine, alors navigable ; Vimpelles était sous la protection du château-fort alors nommé le Beugnon, etc.. Tous ces forts et ces remparts n’empêchaient pas le brigandage, au contraire, souvent les voyageurs se voyaient arrêtés en plein jour, détroussés, roués de coups et s’estimaient heureux d’en être quitte à si bon compte ; en 1145, un vicomte de Sens, aidé du comte de Lizines du nom de Nollet, attaque et vole une caravane de marchand qui se rendaient à la foire de Provins. Que d’exemples analogues nous pourrions citer si le cadre que nous nous somme trac‚ nous le permettait. En terminant ce chapitre, nous nous bornerons à constater un fait : tout depuis l’arrivée des moines, s’était modifié en faveur du peuple, celui-ci aurait pu être heureux, car il avait appris à travailler ; malheureusement ces châteaux-forts remparts qui auraient dû lui procurer la sécurité et lui permettre de vivre en paix, se firent la cause de ses tribulations et de sa ruine.

LA GUERRE DE CENT ANS
Les dépenses suscitées par les constructions des Mottes, des remparts et les creusements des fossés avaient apport‚ la gêne dans la contrée ; l’altération des monnaies, en 1295 et 1306, l’exagération par les marchands du prix des denrées et l’exaction des usuriers, Juifs et Lombard établis à Bray, Provins, Montereau, tous ces fléaux avaient ruiné le Montois. La situation du peuple était des plus critiques, après la bataille de Poitier (1356), les partis et les Anglais envahirent notre pays. Charles-le-Mauvais, les Anglais, les Grandes Compagnies pillaient et rançonnaient tour à tour ; mais les villages les plus éprouvés étaient ceux qui, se confiant dans leurs remparts ou leurs fossés, essayaient de résister. Les seigneurs, défendeurs nés des manants qui vivaient sur leurs terres, n’ap-portaient trop souvent qu’une protection équivoque et le peuple se trouvait dans la nécessité de se protéger lui-même ; c’est ainsi qu’en 1383,les habitants de Donnemarie et des villages environnants de Châlautre-la-Reposte avait été détruits en 1367 ; la Motte, les fermes de Lahaye-Jutard, celle de Bussière, les châteaux-forts de la Reposte et de Saint-Presles avaient été incendiées et démantelés. L’église de Savins détruite plusieurs fois était incendiée en 1368. Le château-fort de Sigy, défendu par Antoine Duraoux, opposait une résistance héroïque aux Anglais qui voulaient traverser la rivière de l’Auxence 6-10-1432. Du village de Sognolles il ne restait que des ruines ; toutes les habitations ainsi que les églises avaient été brûlées par les Anglais en 1429.Lizines, dans la même année, avait subi le même sort. Mais de toutes les localités du Montois, celle qui eut le plus à souffrir, ce fut le village de Mons. Clos de murailles, de fossés et protégé par des tourelles, Mons se crut fortifier pour résister aux Bourguignons ; ses habitants subirent l’assaut avec courage mais, devant le nombre, ils durent céder et se retirer dans l’église. Alors les Bourguignons entassèrent des morceaux de bois et de paille jusqu’à la hauteur des fenêtres, et malgré les cris déchirants que les femmes poussaient à l’intérieur, ils eurent la cruauté d’y mettre le feu et de brûler une grande partie de la population à la date du 21 avril 1430. En souvenir de cette tuerie, il fût fondée une société dans la région de Mons ; cette société s’appelle 11 X 20 + 14, en souvenir des 234 habitants de Mons qui furent massacrés à cette époque (additif). Durant cette période de trouble et d’horreur, qui ne dura pas moins de cent ans les terres n’étaient plus ou presque cultivées ; les fermes en ruines étaient délaissées ; les paysans avaient fuit à Provins ou ailleurs ; les riverains de la Seine couchaient la nuit dans les îles ou dans les bateaux ; leurs travaux étaient arrêtés : ainsi, l’église de Donnemarie, commencée en 1275, n’était achevée qu’en 1454 et le clocher en 1475, après la guerre des Anglais. A tous ces maux que nous venons de signaler, il faut ajouter la famine et la peste des années 1347 à 1348, le froid anormal, la tempête du 7 octobre 1433 qui déracina les arbres et renversa les maisons.»
[NDR]
1) Germain Buisson, [1832- 1906] président de la Société d'histoire et d'archéologie de l'arrondissement de Provins
2) concernant l'argile :
Argile: terre à faïence

- Faïence de Creil-Montereau
- Histoire de la céramique en France VIII La France. VIII - 5 faïences fines
- Petite histoire de la faïence fine à Montereau. - Les faïences de Creil & Montereau
- la faience fine
- La Céramique dans l'architecture à Paris aux XIXe et XXe siècles
Argile: mines & mineurs- les mines d'argile
 
 A consulter également :
Histoire topographique, politique, physique et statistique du département de S & M
. Par E H Félix Pascal (livre numérisé par Google)
lien sur le site : LES COMMUNES DE LA BASSEE (cantons de Bray-s-S & de Donnemarie)- HISTOIRE

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